Nous remarquons que, dans l’Evangile du jour de Pâques (Jean, 20 , 1-9), on court beaucoup. Marie-Madeleine court vers les apôtres, pour les prévenir et leur demander de venir vérifier ses dires.

Ceux et celles qui sont touchés par cette grâce de la foi chrétienne souhaitent naturellement la partager, comme une bonne nouvelle qu’on ne peut garder que pour soi : « Comment pourrions-nous taire la joie qui nous habite? », disait Jean-Paul II dans une homélie.

Il semble important que la nourriture partagée soit le lieu d’une solennité de nos fêtes religieuses ou autres.

“Une Bonne et Sainte année et le Paradis à la fin de vos jours ! ” Un souhait et une promesse, le tout avec une note d’espérance chrétienne ! Comme disaient nos ancêtres du Québec qui avaient l’art des belles formules… Frère Marius Dion, o.p. Kigali, Rwanda

Comme aime à le dire un confrère, il y a deux erreurs à ne pas commettre avec le diable: croire qu’il n’existe pas, ou le faire trop exister ! Dans les décennies de la fin du XXe siècle, on a eu tendance à tomber dans le premier piège.

Au Proche-Orient, en Afrique, en Asie, des millions de chrétiens sont victimes de leur foi. On estime que 150 à 200 millions de chrétiens subissent des persécutions. Certains choisissent de rester chez eux.

C’est parfois difficile avec des jeunes, mais, quand ils peuvent s’exprimer et s’organiser, ils sont prêts à réfléchir au sens de leur vie. Alors que je voulais tout quitter, je me suis engagé à 100% en Eglise!

Dans un diocèse de Suisse (unité pastorale Saint-Joseph du Grand-Fribourg) des dizaines d’adultes reçoivent la confirmation. Deux témoins fribourgeois s’en expliquent.

Un texte du Frère Didier Berthod, Fraternité Eucharistein, Suisse J’ai rencontré un jour un chrétien qui me disait croire en tout sauf en l’Eucharistie. Ca lui paraissait trop difficile à croire. C’est vrai que l’Eucharistie est indéniablement un très grand mystère de foi: actualisation sur l’autel du sacrifice du Christ, présence réelle de Jésus alors […]

Philippe SAVOY est marié et père de trois enfants. Il enseigne le saxophone au Conservatoire (Suisse). Il joue en tant que soliste dans des orchestres symphoniques et ensembles musicaux. Il a remporté plusieurs fois des prix lors de concours nationaux ou internationaux. Il est aussi directeur de plusieurs chœurs, dont le Chœur Saint-Michel en Suisse.

Ceux et celles qui sont touchés par cette grâce de la foi chrétienne souhaitent naturellement la partager, comme une bonne nouvelle qu’on ne peut garder que pour soi : « Comment pourrions-nous taire la joie qui nous habite? », disait Jean-Paul II dans une homélie.

Benoît Lacroix, un frère dominicain. On l’a dit et répété depuis l’annonce de son décès, le Père Lacroix a poursuivi, toute sa vie, une longue et profonde conversation avec le monde et avec l’Évangile.

Il ne m’est pas facile de répondre à votre question et de décrire ce que l’on nomme cheminement ou expérience spirituelle. Non pas que votre requête me prenne au dépourvu, mais j’évite toujours de parler de tels sujets lorsqu’ils me concernent directement.

Dieu, notre Père, nous a fait un très beau cadeau, l’univers. Chaque jour, grâce à la science, nous découvrons de nouvelles choses qui prolongent ce cadeau.

L’année sainte trouve son origine dans l’année jubilaire de l’Ancien Testament. Dans l’Eglise catholique, l’institution de d’une année sainte remonte au pape Boniface VII en 1300.

Réflexions d’un couple auditeurs au Synode sur la famille: Hermelinda et Artuso ZAMPERLINI du Brésil

Nous sommes faits pour la relation à l’autre. Comme tels, nous avons été voulus, pensés, aimés par notre Créateur. Ce besoin est vital. Privé de relation, un être meurt, parfois dans son corps, souvent dans son psychisme, toujours dans sa capacité à espérer et à croire en l’autre… Notre soif de l’autre est la signature […]