En 1986, Nanni Moretti, dans La messe est finie, interprétait Don Giulio, un jeune prêtre idéaliste, confronté aux difficultés d’une paroisse de la banlieue romaine. Vingt-cinq ans après, dans Habemus papam, il imagine la situation d’un pape élu, pris d’angoisse devant la responsabilité qui l’attend, n’osant ni accepter ni refuser, qui s’enfuit quelques jours dans […]